histoire de eux artisans qui font une découverte

HISTOIRE DE DEUX OUVRIERS ARTISANS
A L’ORIGINE DE DECOUVERTES SCIENTIFIQUES
Looewenlook danois, horloger de son état, se rend compte,
un beau matin, qu’en changeant le verre cassé d’une montre à
gousset, le nouveau verre grossit les chiffres. Il reste dans
l’expectative de comprendre puis finit par se dire que cela provient
de la manière dont il a façonné le nouveau verre.
Il se met à l’ouvrage d’en fabriquer un nouveau, puis d’autres
toujours plus puissant en grossissement.
Il est installé à sa table de repas et regarde avec le dernier
verre de sa fabrication tout ce qui se trouve sur la table. Il aperçoit
plein de choses invisibles à l’oeil nu, mais quand il passe au dessus
de son verre qui contient un peu d’eau à boire qu’elle ne fut pas sa
surprise ; il écrira ensuite : « il y a plus de monde dans le fond
de mon verre que sur la place de Paris réuni ».
Il en déduit que ce résultat provient certainement de sa façon
de travailler le verre, il doit encore pouvoir aller plus loin.
Il fabrique toujours et encore des verres polis, pour un jour
découvrir, peu de temps avant de mourir: « des êtres minuscules
qui bougent sans arrêt ». Il vient de découvrir « la bactérie »,
découverte scientifique qui lui sera attribuée que bien plus tard.
Looewenlook a écrit 189 lettres qu’il a envoyées à l’Académie des
Sciences de Londres, toutes n’ayant pas toujours été comprises par
ces messieurs qui restaient très surpris par leurs contenus
provenant de ce parfait inconnu.
Jean Marius D’Alexandris ouvrier tous dépannages à domicile
et accessoirement plombier, se voit un jour confronté à une colonne
d’eaux usées de 8 étages qui s’obstrue très souvent sur le bas de la
colonne. Il se souvient qu’un de ses fournisseurs lui a parlé d’une
poudre contenant des bactéries en état ‘‘anaérobie’’ qui enlèvent le
tartre des canalisations d’eaux usées ; et si c’était le cas ? Il décide
de faire une expérience.
8 jours après l’injection du fameux produit dans la canalisation
il remarque des changements. Cela mérite bien entendu réflexion
mais l’analyse des données est difficile car il n’a aucune
connaissance en la matière.
Il se met donc à renouveler cette expérience de nombreuses
autres fois et finit par conclure que sa découverte c’est : la fonction
de biodégradation de la bactérie. Il lui faudra encore quelques
années de compréhension pour pouvoir enfin élaborer une théorie
de sa découverte.
Cette dernière ainsi faite il est confronté à un dilemme : où et
comment peut il faire une démonstration de sa théorie car il est
habité par un doute concernant l’état ‘‘anaérobie’’.
Comment –matérialiser- la frontière entre l’état ‘‘aérobie’’ et
l’état ‘‘anaérobie’’. La fameuse -fosse septique- semble être le lieu
tout à fait approprié.
Il constate que cette dernière, comme elle est constituée
aujourd’hui, est en permanence en -disfonctionnement biologiqueet
qu’il n’y a aucune possibilité de localiser et de situer les deux
‘états’
Il façonne donc une nouvelle fosse à son idée qu’il met
immédiatement en pratique dans des conditions générales de
fonctionnement usuel d’un habitat. Les résultats spectaculaires,
dépassent toutes ses espérances. Il vient d’inventer « la fosse
biologique ».
Il peut maintenant s’atteler à résoudre le dilemme qui l’occupe
de ces deux ‘états’. Il puise dans ses connaissances de jeune
mécanicien de l’aéronavale comme spécialiste en aérodynamisme.
L’air, les courants d’air sur la cellule de l’avion, les dépressions
et hautes pressions, lui permettent, pour finir, d’élaborer une
nouvelle théorie : la totalité de l’espace terrestre et aérien de
notre planète est en « état aérobie »
Sa découverte : « l’anaérobie n’existe pas sur terre,
l’anaérobie ne peut pas exister sur terre ».
Les découvertes que Looewenlook et lui-même ont faites,
tiennent surtout dans la perception d’un phénomène, une action ou
une réaction qui se produit à un moment donné. Phénomène qu’il
faut vite analyser et confirmer pour essayer d’en comprendre les
tenants et les aboutissants.
Cette histoire s’est beaucoup inspirée du contenu du livre de
Moore RUTH, intitulé : Les précurseurs de la biologie.
Les découvertes de Jean Marius d’Alexandris ne sont pas
encore reconnues. Il a envoyé de nombreuses lettres un peu partout
pour informer de sa découverte et ensuite de sa progression mais
toutes sont restées sans nouvelle de retour.
L’innovation fait office, à notre époque, de ‘diablerie’, car les
gens qui reçoivent ces lettres n’ont pas la possibilité de trouver
d’éléments de référencement et de comparaison dans ce qui existe
à ce jour. Ils restent sceptiques.
L’homme est à l’origine de son progrès Et lui seul. Le scepticisme bloque le progrès

merci de cette page d'histoire

c'est très interessant et je me coucherais moins bête ce sor, chouette

Une des leçons à tirer de ces histoires est l'absence de modestie et d'ouverture d'esprit des scientifiques, qui refusent de prendre en considération des découvertes exogènes.