Lu sur le Web à propos des dépenses somptuaires engagées au profit de « Moi-je…fais la roue »
Au-delà de l'affaire Lepaon, les auteurs de la pétition [demandant la démission des dirigeants de la CGT] font le procès de la politique de la première organisation syndicale française…
La crise actuelle, écrivent-ils, est le résultat d'une "capitulation" et d'une conception du syndicalisme qui a privilégié les rapprochements avec la CFDT, autre grand syndicat français, et "la négociation au détriment de l'action".
Ils dénoncent un "alignement sur les conceptions réformistes du syndicalisme européen", un abandon du "syndicalisme de lutte de classes", des "gages donnés au patronat et au gouvernement" et une "bureaucratisation de l'appareil confédéral".
Sacrés zozos ! je suis mort de rire. Tous dans la rue camarades, foutons la merde et boutons les capitalistes hors de leurs sinécures.