je ne ferais aucun commentaire
mais je vous conseille d'écouter et de méditer les paroles de ce cher Georges Brassens
Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
La femme s'emmerde en baisant.
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses.
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus.
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peucher!
S'il n'entend le coeur qui bat,
Le corps non plus ne bronche pas........................